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Rédaction de scripts, enregistrement de narrations, guides en langue des signes, audiodescriptions pour audioguides.
GPS-Autocar touristique, multi conférences, Apps.
Bienvenue
Bienvenue à Saragosse! Grâce à ce service gratuit d'audioguide vous allez pouvoir connaître la ville de façon simple et pratique. Il est divisé en onze pistes indépendantes avec lesquelles vous pourrez découvrir les zones et les monuments les plus remarquables de la ville, ainsi que son histoire, sa gastronomie et les loisirs qu’elle offre. Nous vous invitons à profiter au maximum de Saragosse en compagnie de notre audio guide.
ALJAFERIA. PATRIMOINE DE L’HUMANITÉ MUDÉJAR
Nous somme devant L’Aljaferia, qui fut élevée en tant que palais de plaisance des rois musulmans de Saragosse et qui est la construction civile la plus importante de l’occident islamique du XIe siècle. En outre, elle fût le siège d’une cour culturelle de premier ordre, dans laquelle le roi Al-Mugtadir s’entoura de scientifiques et d’intellectuels qui convertirent cette époque en l’une des plus passionnantes de l’histoire de la ville.
Nous pouvons encore évoquer la splendeur du palais taïfa en entrant dans la Cour de Sainte Isabelle, nous promener avec l'audioguide (audioguides) près des orangers, sous les portiques, jeter un œil a l’oratoire et contempler l’ensemble depuis le Salon Doré. Ça vaut la peine de s’arrêter dans l’oratoire ou mihrab, orienté vers La Mecque et de petites dimensions, pour son caractère exclusivement privé.
Dans cette zone les arcs polylobulés de qualité indiscutable se distinguent également, et font de l’Aljaferia un des plus beaux exemples de l’art hispano-musulman.
À l’époque médiévale, elle est devenue la résidence des rois d’Aragon qui firent du palais le lieu des célébrations des couronnements royaux. Le roi Pierre IV le Cérémonieux au XIVe siècle, ordonna la construction de nouvelles pièces dans le style mudéjar.
Munis de l'audioguide (audioguides), nous montons à l’étage des Rois Catholiques, qui participèrent aussi à l’édifice à la fin du XVe siècle, et durant leur règne, des espaces impressionnants furent créés, tels que le Salon du Trône, avec son magnifique plafond à caissons en bois sculpté duquel pendent de grandes pommes de pins dorées. Ce même style artistique, mélange de mudéjar, gothique final et première Renaissance, apparaît dans les Salles des Pas Perdus et dans le grand escalier d’accès à la galerie.
Philippe II ordonna que le palais soit transformé en forteresse militaire à la fin du XVIe siècle. L’édifice maintint cette fonction militaire jusqu’aux années 60 du siècle dernier. En 1987 elle devenue le siège du Parlement d’Aragon et l’aspect actuel de l’édifice est le résultat d’une longue et minutieuse restauration qui prit fin en 1998.
ÉGLISE DE SAN PABLO
Nous quittons l’Aljaferia pour nous diriger avec l'audioguide (audioguides) vers le Quartier de San Pablo, où s’élève l’église du même nom, le premier temple mudéjar qui fut construit à Saragosse au XIIIe siècle. A l’extérieur, sa tour octogonale et à la structure de minaret almohade est remarquable. En réalité il s’agit de deux tours l’une à l’intérieur de l’autre et, entre les deux, la cage d’escalier.
L’intérieur présente à l’heure actuelle trois nefs, résultat de son agrandissement au XVe siècle. À l’origine elle disposait d’une seule nef au chevet polygonal. Le magnifique grand retable, en bois doré et polychrome, est l’œuvre de Damián Forment, le même artiste du grand retable du Pilar.
Bien que nous n’en ayons pas encore parlé, nous devons souligner que l’art mudéjar est le style artistique le plus enraciné d’Aragon et qu’en lui fusionnent les techniques et les traditions chrétiennes et musulmanes. En décembre 2001, l’UNESCO déclara le mudéjar aragonais Patrimoine de l’Humanité pour sa singularité et pour être un style artistique né de la coexistence pendant des siècles sur nos terres de musulmans et de chrétiens. Dans la ville de Saragosse trois édifices se sont distingués : le palais de l’Aljaferia, l’église de San Pablo et La Seo.
PARC DE L’EAU ET ENCEINTE DE L’EXPO
Pour profiter de la nature au milieu de la ville il n’y a pas de meilleur choix que de visiter avec l'audioguide (audioguides) le Parc Métropolitain de l’Eau Luis Buñuel. Il fut inauguré en juin 2008 et s’étend sur le Méandre de Ranillas, à côté de l’enceinte de l’Exposition Internationale. En plus d'un espace vert à la végétation caractéristique des rives, dans ce parc nous pouvons trouver d’autres lieux plein de charme tels qu’un théâtre pour enfants, une plage fluviale, un jardin botanique, des canaux d’eaux calmes pour naviguer en pirogue, un canal d’eaux pour faire du rafting, une zone multi-aventure, une roue hydraulique artisanale, ainsi que des restaurants et bien d'autre encore.
De plus, le parc est situé à côté du front fluvial de l’enceinte de l’Expo, un nouveau parc linéaire le long de la rive de l’Èbre qui s’étend du Pavillon-Pont à la Passerelle du Volontariat. Depuis cet espace nous pouvons contempler certains des bâtiments et ouvrages emblématiques construits à l’occasion de l’Expo, comme la Tour de l’Eau, le Pavillon-Pont, le Pont du Troisième Millénaire, le Pavillon de l’Espagne ou encore l’Aquarium Fluvial. L'audioguide (audioguides) va vous décrire chacun d'entre eux, car ce sont des symboles de la nouvelle ville.
La Tour de l’Eau se dénomme ainsi en raison de son plan inspiré d’une goute d’eau, qui fait que le bâtiment adopte des formes différentes selon l’endroit duquel on l’observe. Dans un avenir proche, elle deviendra un centre d’expositions temporaires d’art contemporain géré para la Caisse d’Épargne de la Inmaculada.
Presque au pied de la Tour nous voyons le Palais des Congrès d’Aragon, avec sa silhouette très singulière.
Le Pavillon-Pont est un autre bâtiment enseigne, conçu par la prestigieuse architecte iraquienne Zaha Hadid. Son plan simule la silhouette d’un glaïeul avec une extrémité qui repose sur la rive droite du fleuve et une autre qui se divise en trois tiges et qui repose sur la rive gauche, où nous nous trouvons actuellement avec l'audioguide (audioguides). IberCaja gère ce bâtiment pour le transformer en un musée, très certainement en rapport avec les nouvelles technologies.
À présent nous pouvons observer le Pont du Troisième Millénaire, œuvre de l’ingénieur de Huesca Juan José Arenas. À côté du Pavillon-Pont, cette œuvre figure déjà dans la liste des meilleurs et plus beaux ponts du monde.
Le Pavillon de l’Espagne est facilement reconnaissable à la forêt de colonnes en terre cuite qui l’entoure, contribuant à créer un microclimat qui atténue la température en été et qui rend ce bâtiment durable. N’oublions pas que le thème de l’Expo était précisément « l’Eau et le développement durable ». Ce pavillon a été récompensé, depuis son inauguration, par de nombreux prix nationaux et internationaux.
Et enfin l’Aquarium Fluvial, le plus grand aquarium d’eau douce d’Europe. Son exposition s’articule autour d’un parcours dans cinq fleuves de la planète : le Nil en Afrique, l’Amazone en Amérique, le Mékong en Chine, le Darling en Australie et l’Èbre en Espagne. Dans le centre de l’aquarium se trouve le Fleuve du Monde, un grand réservoir qui simule l’origine du Monde.
Et maintenant, il ne nous reste qu’à profiter avec l'audioguide (audioguides) de ce merveilleux environnement…
PLACE DU PILAR ET ENVIRONS
Nous nous trouvons avec l'audioguide (audioguides) sur la célèbre Place du Pilar, enclave où la ville est née, centre de pèlerinage marial et point de rencontre pour les saragossains et les visiteurs. En outre, sur cette place s’élèvent certains des édifices les plus importants de la ville, qui constituent son histoire au cours des siècles. De fait, dés le 14e siècle avant J.C., la ville romaine de Caesaraugusta fut fondée dans cet environnement, de laquelle nous pouvons contempler des restes de remparts, le forum, le port fluvial, les thermes ou encore le théâtre.
Mais l’histoire de la place ne termine pas ici, car presque toutes les périodes historiques que Saragosse a traversées sont représentées au travers d’édifices d’une immense beauté. Le plus impressionnant est peut-être la Cathédrale de San Salvador, connue comme La Seo, qui s’élève sur le côté Est et qui est en soi un parcours à travers l’histoire de la ville. Mais nous allons nous réserver pour plus tard, car cela vaut bien la peine de dédier un chapitre complet de l'audioguide à un trésor aussi impressionnant.
À côté de la rue Don Jaime I nous trouvons la Lonja : la Bourse de Commerce, un des monuments les plus importants de l’architecture civile de la Renaissance espagnole. Jusqu’à sa construction au XVIe siècle les traités et les affaires des marchands se réalisaient dans La Seo et autres églises. Comme il était d’usage à Saragosse à cette époque, elle fut construite en briques et en suivant un plan architectural similaire à celui des palais : une grande porte d’accès, le plan noble remarquable avec une baie vitrée, une galerie de petits arcs et un auvent très saillant en bois sculpté. Les portraits en plâtre polychrome de différentes personnalités importantes de l’époque attirent notre attention. L’intérieur diaphane et très spacieux est dû au caractère commercial de l’édifice et a rendu possible sa réutilisation comme salle d’expositions temporaires de la Mairie.
Derrière la Lonja l'audioguide (audioguides) nous propose de découvrir le Pont de Pierre, dont la construction commença au début du XVe siècle.
L'audioguide (audioguides) nous emmène de l’autre côté de l’Èbre, au pied de ce pont, où se trouve le Balcon de Saint Lazare récemment inauguré. Il s’agit d’un nouveau centre d’interprétation parmi les restes archéologiques du Couvent de Saint Lazare et une place mirador piétonne très étendue. Le couvent fut inauguré en 1224 et il était équipé de 3 cloîtres, bien qu’à l’heure actuelle il ne reste que le Cloître du Puits, où les villageois se rendaient pour aller chercher de l’eau. Durant les Sièges de Saragosse de 1808 et 1809 il fut fortifié avec des batteries pour défendre la ville et fournir l’approvisionnement en vivres, même le général Palafox l’utilisa comme caserne ; ces faits provoquèrent la destruction presque totale de l’édifice. Après la vente forcée de Mendizábal, en 1836, l’Armée prenait une certaine place, et dans les années 40 du XXe siècle la caserne de Saint Lazare s’éleva sur les restes du couvent. En 1983 elle fut démolie et sur le terrain un parking pour autobus et un petit espace vert furent construit. Ce mirador offre une magnifique vue panoramique.
Nous traversons à nouveau le Pont de Pierre avec l'audioguide (audioguides) et nous nous situons sur la Place du Pilar, où s’élève le plus grand monument sculptural dédié à Francisco de Goya, et à dire vrai ça n’aurait pas pu être moins que ça, car c’est notre peintre le plus universel. La statue du génie saragossain se situe en haut d’un piédestal, observant les deux couples de majos et majas qui semblent être tirés de l’un de ses tableaux. L’ensemble est complété par le cénotaphe du peintre lui-même, un petit et simple monument cylindrique avec des plaques faisant allusion à Goya et la famille de sa belle-fille, les Goicoechea. C’est un cadeau de la ville de Bordeaux, car c’est là que mourut le peintre en 1828.
À côté de la Lonja nous voyons la Mairie, un édifice de la seconde moitié du XXe siècle, mais qui suit le design et les matériaux utilisés dans la Lonja. Des deux côtés de la porte principale, souhaitant la bienvenue, il y a deux sculptures monumentales de l’aragonais Pablo Serrano. IL s’agit de San Valero, patron de la ville, et l’Ange Gardien de la ville.
Déjà au fond de la place, à son extrémité Ouest, nous voyons la Fontaine de l’Hispanité, thème choisi du fait que la Vierge du Pilar est la patronne de toute l’Hispanité. Elle est composée d’une rampe par laquelle l’eau tombe et d’un bassin qui constituent la carte de l’Amérique Centrale et de l’Amérique du Sud. Trois blocs de marbre évoquent les trois caravelles de Colomb et l’ensemble est complété par un globe terrestre. Si vous souhaitez le voir avec une meilleure perspective, je vous recommande de monter avec l'audioguide (audioguides) à la tour du Pilar, que vous allez sûrement adorer.
Sur la petite place qui se trouve derrière cette fontaine, nous voyons l’Église de San Juan de los Panetes avec sa tour caractéristique inclinée, la Grosse Tour de la Zuda, actuellement l’office municipal du tourisme, et un mirador panoramique ainsi que les restes les mieux préservés de la muraille romaine de Caesaragusta. De plus, tout près, il y a le Marché Central, où vous pourrez trouver tous types de produits typiques de la gastronomie saragossaine.
LA BASILIQUE DU PILAR
Nous nous trouvons devant l’un des sanctuaires mariaux les plus importants du monde catholique, auquel arrivent chaque année des millions de pèlerins, et pour lequel Saragosse est connue pratiquement dans le monde entier.
Mais avant d’entrer je vais vous parler un petit peu de l’histoire intéressante de cet édifice, car la tradition dit que la nuit du 2 janvier de l’an 40 apr. J.C. la Vierge Marie vint dans la chair à Saragosse pour encourager l’apôtre saint Jacques, qui se trouvait en train de prêcher l’Évangile sur les rives de l’Èbre. En tant que symbole de cette forteresse elle apporta une colonne sur laquelle se situe aujourd’hui la sculpture gothique de la Vierge du Pilar.
L’édifice que nous voyons à l’heure actuelle avec l'audioguide (audioguides) correspond déjà aux XVIIe et XVIIIe siècles, moment auquel il fut décidé de faire un temple plus vaste qui soit adapté à la dévotion croissante. Le tracé général fut supervisé par l’architecte royal Herrera el Mozo et en 1750 la restauration de la décoration intérieure fut confiée à Ventura Rodríguez, également architecte du roi. Son œuvre la plus impressionnante est la Sainte Chapelle, prévue pour être un temple à l’intérieur du temple. La représentation sculpturale de L’Arrivée de la Vierge est conçue avec une grande théâtralité: Marie dirige son regard vers l’apôtre saint Jacques et montre le Pilar qui demeure comme témoin de sa présence. La colonne est recouverte d’un voile qui est changé chaque jour. C’est uniquement les 2, 12, et 20 de chaque mois que l’on montre la colonne sans voile. Sur le Pilar se situe l’image de la Vierge avec l’enfant, sculpture gothique du XVe siècle qui atteint à peine les trente six centimètres de hauteur. Sa petite taille ne correspond pas à la grande dévotion qu’elle provoque dans tout le monde catholique.
Juste en face de la Sainte Chapelle nous trouvons le Coreto de la Vierge, où en 1772 Goya peignit la fresque de l’ « Adoration du Nom de Dieu », sa première œuvre importante après être rentré d’Italie. Elle représente un groupe d’anges musiciens et chanteurs qui glorifient le nom de Dieu, écrit en hébreu à l’intérieur d’un triangle central.
Dans cette zone notre attention est également attirée par les deux bombes suspendues sur la droite de la Sainte Chapelle. Durant la Guerre Civile Espagnole un avion lança 2 bombes sur la basilique qui n’explosèrent pas. Elles traversèrent le toit en faisant deux trous qui sont toujours conservés aujourd’hui. Vous les avez trouvés? Il y en a un dans le cadre doré de la peinture de Goya du Coreto et l’autre dans un des médaillons qui est entre cette voûte et la Sainte Chapelle.
Les drapeaux qui sont arborés dans cette zone appartiennent à l’Espagne et l’Amérique latine du fait que la Vierge du Pilar soit la patronne de l’Hispanité.
Nous nous dirigeons à présent vers la coupole « Regina Martirum », peinte par Goya en 1780. Elle représente Marie en tant que Reine des Martyrs et nous pouvons tout de suite apprécier qu’il s’agit d’une œuvre totalement différente de la précédente, car elle utilise des couleurs très vives, appliquées à grands coups de pinceau et de taches, qui confèrent une grande expression, naturalisme et plasticité aux personnages. Ce que nous voyons maintenant comme un prélude de l’impressionnisme, provoqua à l’époque de grandes tensions avec le chapitre et avec son beau-frère et chef Francisco Bayeu, qui l’accusèrent de faire une peinture rapide et négligée. Sans aucun doute, nous pouvons dire aujourd’hui qu’il s’agit d’un des chefs-d’œuvre de ce génie aragonais.
L'audioguide (audioguides) nous permet de découvrir une autre merveille, le Retable du Grand Autel, réalisé par Damián Forment au XVIe siècle. Il est curieux de remarquer que dans les écritures du contrat d’engagement de cet ouvrage il fut spécifié qu’il devrait être aussi bon ou mieux que celui de la Seo. Il est fait en albâtre et se divise en deux corps : l’inférieur avec sept scènes dédiées à la vie de la Vierge et son fils, et le supérieur en guise de triptyque avec les scènes de la Présentation dans le Temple, l’Assomption et la Naissance de la Vierge.
Pour terminer notre visite avec l'audioguide (audioguides) nous nous approchons du Grand Chœur, situé en face du retable, au pied de la nef centrale. C’est un ensemble formé par les balustrades et les stalles du chœur, élaborées vers le milieu du XVIe siècle en bois noble de Flandres et en buis jaune. Les dossiers hauts son sculptés avec des scènes de l’Ancien et du Nouveau Testament. L’orgue est une intéressante combinaison du buffet du XVIe siècle avec un instrument musical du XXIe siècle, qui fut étrenné début 2009.
SEO ET ENVIRONS
Nous allons visiter La Seo del Salvador, la cathédrale la plus ancienne de Saragosse. Elle s’élève sur le même terrain où auparavant se situèrent le temple romain du Forum de Caesaraugusta, l’église wisigothe et la grande mosquée musulmane. Vers le milieu du XIIe siècle, après la conquête chrétienne de la ville, on commença à abattre l’ancienne mosquée pour commencer la construction d’une église romane. Au fil du temps le temple fut agrandi en suivant les courants artistiques de chaque période. De cette manière, La Seo réunit tous les styles artistiques développés entre le XIIe et le XVIIe siècle, du roman au néoclassique.
À l’extérieur, en regardant vers la place de Saint Bruno avec l'audioguide (audioguides), on distingue deux absides qui ont été conservées de l’église romane. À côté d’elles, notre attention est attirée par un mur mudéjar de toute beauté en brique et en céramique, appelé mur de la Petite Paroisse, qui ferme la chapelle funéraire de l’archevêque Lope Fernández de Luna. L’image extérieure de la cathédrale est complétée par la svelte tour baroque et la façade principale néoclassique.
À l’intérieur, nous découvrons un plan de salon divisé en cinq nefs qui sont couvertes de magnifiques voûtes d’ogives étoilée. Un long processus de restauration qui commença en 1980, a rendu à l’édifice toute sa splendeur. Cet espace, auparavant obscur et noirci, est à présent inondé par la lumière naturelle qui entre au travers des fenêtres, ainsi que celle des lanternes des chapelles et de la coupole.
En nous approchant du grand autel avec l'audioguide (audioguides), nous découvrons un des meilleurs retables gothiques d’Europe. Il est en albâtre polychrome et ses trois scènes principales représentent les trois épiphanies du Christ : la Transfiguration, l’Adoration des Rois Mages et l’Ascension. Le grand autel de la Seo était, en outre, le lieu des couronnements des rois d’Aragon. Le Grand Chœur présente un ensemble de stalles gothique en bois de chêne et on en distingue le buffet de l’orgue du XVIe siècle. Beaucoup plus intéressant : le Déambulatoire travaillé dans le gypse et avec des reliefs faisant principalement allusion aux saints aragonais.
Parmi les chapelles de la cathédrale deux des meilleurs ensembles de la Renaissance religieuse de l’Aragon se distinguent: la Chapelle de Saint Bernard (au pied de l’église), la chapelle funéraire de l’archevêque don Hernando d’Aragon, et la Chapelle des Saints Archanges, caveau de la famille Zaporta (dans la nef gauche). De plus il nous faut remarquer la Chapelle du Saint Christ (dans la partie postérieure du déambulatoire), qui garde une des images de la plus grande dévotion chez les saragossains.
Dans le Musée des Tapisseries de La Seo nous pouvons contempler une des meilleures collections de tapisseries du monde. La collection est composée de 63 tapisseries qui comprennent des thèmes bibliques, historiques, mythologiques et moralisateurs. La plupart des pièces datent du XVe, du XVIe, et du XVII siècle, âge d’or de l’art de la tapisserie, et proviennent des principaux centres producteurs de l’époque : les ateliers d’Arras, Tournai et Bruxelles.
Si nous sortons par la porte de Saint Bruno avec l'audioguide (audioguides), nous découvrons sur la droite l’Arc du Doyen. Son origine remonte au XIIIe siècle, quand le Doyen de la cathédrale sollicita la permission de construire un passage qui communiquerait sa nouvelle maison avec le temple. La galerie en style mudéjar que nous voyons maintenant date de la réforme du XVIe siècle et laisse entrevoir, au fond, la décoration briquetée sur le mur, si caractéristique de ce style.
FORUM ET PORT
Nous avons déjà vu que Saragosse est une ville qui a plus de 2000 ans d’histoire. Sur le même terrain où a été établie la colonie ibérique de Salduie, l’empereur Auguste fonda une importante colonie appelée Caesaraugusta, la seule dans tout l’Empire Romain qui reçut le nom complet de son fondateur. De cette période, d’importants vestiges ont été conservés à Saragosse parmi lesquels se distinguent : les restes du forum, du port, des thermes et du théâtre.
Juste devant La Seo nous pouvons accéder avec l'audioguide (audioguides) au Musée du Forum de Caesaraugusta, qui abrite en son intérieur les restes trouvés dans les fouilles réalisées à l’occasion de la rénovation de la Place de la Seo. Ces découvertes appartiennent fondamentalement à deux périodes : le règne d’Auguste et le gouvernement de son successeur Tibère. De l’époque d’Auguste ont été conservés les restes d’un marché qui souffrait de constantes inondations provoquées par les crues de l’Èbre. Trente ans après sa construction, il fut démoli, et après avoir élevé le niveau du sol entre quatre et sept mètres dans cette zone proche du fleuve, il fut décidé d’élever sur cet espace le Forum de Tibère.
Le Forum de Caesaraugusta était une grande place rectangulaire entourée d’arcades sur laquelle se trouvaient les principaux édifices religieux, politiques et commerciaux : la basilique, la curie, les tabernae et le temple principal. Les restes du forum, que nous pouvons visiter avec l'audioguide (audioguides) dans la partie supérieure du musée correspondent aux fondations du double portique de la place, ainsi qu’aux murs qui délimitaient les caves des magasins. Cette enceinte était le cœur de la ville romaine : ici les citadins se réunissaient pour écouter les politiciens, les maîtres enseignaient à leurs élèves, les commerçants montraient leurs marchandises, les édiles traitaient des sujets municipaux dans la curie et des offrandes étaient faites aux dieux devant leurs nombreux autels. Le caractère qu’eut cette zone durant la période romaine se maintient dans l’actualité, car la Place des Cathédrales est toujours le centre religieux, politique, économique et social de Saragosse.
Dans la zone basse de cet espace muséal, à côté des restes du marché augustéen, nous trouvons un tronçon du réseau d’égouts qui parcourrait le sous-sol de la ville romaine. En outre, dans de nombreuses vitrines nous pouvons voir des éléments qui nous plongent dans différents aspects de la vie quotidienne des citadins de l’empire. On trouve aussi en exposition des fragments de tuyauteries en plomb qui apportaient l’eau du fleuve jusqu’au centre de la ville.
Maintenant, nous pouvons nous diriger avec l'audioguide (audioguides) vers la Place de Saint Bruno, sur laquelle nous trouvons le Musée du Port Fluvial, un bon exemple de l’importance de l’Èbre dans l’histoire de Saragosse depuis ses origines. À l’époque romaine le fleuve était navigable de la ville de Dertosa (l’actuelle Tortosa) jusqu’à Vareia (Logroño). Grâce à ce transit fluvial Caesaraugusta est devenu un important centre portuaire et commercial.
Les bateaux qui naviguaient sur le fleuve depuis la Méditerranée apportaient des céramiques, marbres, bijoux, tissus, du vin et des salaisons ; mais ils apportaient aussi les modes, les coutumes et les nouveautés culturelles qui se produisaient dans le monde romain. Les navires quittaient la colonie chargés de laine, blé, bois, sel, fer et de fourrures. Caesaraugusta fut un point crucial dans cette voie de communication et le port fluvial donna un marché au caractère cosmopolite à la ville.
De la zone portuaire sont conservées actuellement les fondations d’un grand magasin où étaient déposées les marchandises. Dans certaines pierres de taille de cette construction nous pouvons voir la marque de ses constructeurs, les soldats des légions IV, VI, et X, fondateurs de Caesaraugusta.
THÉÂTRE
Sur la Place de San Pedro Nolasco nous pouvons visiter le Musée du Théâtre de Caesaraugusta, le dernier espace archéologique muséifié après plus de trente ans de fouilles et d’études.
Comme nous pouvons le voir avec l'audioguide (audioguides), ce théâtre se distingue par ses grandes dimensions : sa capacité de 6000 spectateurs le convertit en l’un des plus grands de l’Espagne romaine avec celui de Cadix. En plus des deux entrées latérales habituelles, le théâtre de Caesaraugusta présente une troisième entrée centrale, unique exemple dans toute l’Hispanité. Il disposait également des avancées techniques les plus modernes comme le vélum, une banne mobile qui protégeait les spectateurs du soleil et de la pluie, et qui était habituellement déployée pour les marins qui amarraient leurs bateaux dans le port de la ville.
Dans la zone muséale, nous trouvons une série de maquettes, recréations et auditions qui nous permettent de découvrir comment étaient physiquement ces édifices de spectacles, ainsi que la vie et l’ambiance qu’ils présentaient durant les représentations théâtrales. Dans une petite salle, que nous trouvons tout de suite en entrant à l’intérieur du musée, un ensemble de panneau parcourt l’évolution de ce terrain depuis l’époque romaine jusqu’à nos jours, en nous offrant une vision complète des principales étapes historiques de notre ville.
ROSARIO DE CRISTAL
À côté de l’ancien théâtre romain, sur la Place de San Pedro Nolasco même, s’élève ce qui fut l’église du Sacré Cœur de Jésus, aujourd’hui Musée Rosario de Cristal. Dans cet espace sont exposées les lanternes et les chars de verre qui dans la soirée du 13 octobre parcourent les rue de la ville en procession.
THERMES
Dans la rue San Juan y San Pedro, qui part également de cette place, l'audioguide (audioguides) nous conduit à l'endroit où se trouvent les restes des thermes publics de Caesaraugusta. C’était beaucoup plus qu’un lieu destiné à l’hygiène : ils remplissaient une importante fonction sociale, culturelle et sportive. Les citadins s’y réunissaient pour un prix d’entrée modique (et à l’occasion gratuitement) pour se promener, faire de l’exercice, se baigner, lire, écouter de la musique, de la poésie et converser avec les amis. Ils disposaient de saunas, salles d’eau chaude, salles d’eau froide, vestiaires, gymnases, jardins et de bibliothèques. Les thermes sont un bon exemple du niveau de confort que Rome transmit à ses colonies. Aussi bien des hommes que des femmes s’y rendaient, toujours séparés par des pièces ou des horaires différents.
Dans le Musée des Thermes sont conservés des restes d’une piscine en plein air entourée d’arcades qui était décorée luxueusement avec de riches marbres et sculptures. Dans les vitrines nous pouvons voir des reproductions de certains des accessoires que les romains utilisaient habituellement dans les thermes : des sabots de bois pour ne pas se brûler les pieds dans les salles chaudes, des serviettes, des éponges, des bâtonnets pour l’hygiène des oreilles ou des strigiles pour frotter la peau. Nous pouvons aussi voir la recréation de latrines qui avaient une capacité de 29 personnes au Ier siècle avant J.C.
LA MAGDALENA
Près de ces deux musées romains, au bout de la Grande rue, s’élève l’un des meilleurs échantillons du style mudéjar dans la ville : l’église de la Madeleine. À l’extérieur on remarque sa magnifique tour en brique décorée avec des azulejos en céramique vernissée et très similaire aux tours de Saint Martin et du Sauveur de Teruel.
GOYA: MUSÉE CAMÓN AZNAR (SALLES DE PEINTURES ET DE GRAVURES) ET MUSÉE DE SARAGOSSE (SALLES DE GOYA)
L’intime relation de Goya avec Saragosse aussi bien au niveau humain qu’artistique est indiscutable et se maintient vivante, même à distance, tout au long de sa vie.
En plus des fresques de la Basilique du Pilar, à Saragosse les œuvres de Goya sont exposées dans le Musée IberCaja Camón Aznar et dans le Musée de Saragosse.
Le Musée IberCaja Camón Aznar est le seul musée au monde qui montre de manière permanente toutes les séries de gravures de Goya. Dans la première, il s’initie à la technique de l’eau-forte en copiant des œuvres de Velasquez, qu’il considère comme un de ses maîtres. Les Caprices nous révèlent une vision critique de la société espagnole de son temps, ancrée dans l’ignorance et la superstition. Les Désastres de la guerre font de lui le premier reporter graphique de l’histoire, qui cherche à refléter la douleur, la cruauté et les terribles conséquences de la guerre. Dans la Tauromachie il nous offre des estampes des spectacles taurins de son époque. Les Sottises semblent lui servir à s’échapper de toutes ses peurs et ses angoisses. Dans ses dernières gravures, les Taureaux de Bordeaux, un Goya âgé ose encore expérimenter avec la nouvelle technique de la lithographie.
Ce musée dispose aussi d’une salle de peintures, le Salon Doré, qui expose des œuvres de Goya appartenant à IberCaja et à la Société économique aragonaise des amis du pays. Parmi ces œuvres se distinguent le magnifique portrait de Don Félix d’Azara, et de la reine Marie-Louise de Parme, un Autoportrait juvénile de l’artiste ou l’esquisse de la voûte du Coreto du Pilar.
L'audioguide (audioguides) se poursuit dans le Musée de Saragosse nous trouvons une collection représentative de toutes les étapes du peintre, qui nous permet de suivre son évolution depuis ses œuvres de jeunesse jusqu’à celle de sa pleine maturité. Dans cet intéressant montage explicatif, une attention particulière est portée à l’étape de formation artistique de Goya, aussi bien à Saragosse qu’au cours de son séjour en Italie. On peut aussi contempler de grands portraits des plus hautes personnalités de la famille royale et de la politique espagnole, comme Ferdinand VII, le Duc de Saint Charles ou l’infant Louis Marie de Bourbon, en passant par les amis de l’artiste comme Goicoechea et ses proches mêmes, comme son fils Javier et l’épouse de celui-ci Gumersinda. Après avoir visité ce musée, nous pouvons mieux comprendre l’évolution d’un artiste qui, bien qu’il se forma dans les normes artistiques de l’époque dans laquelle il vécut, il sut créer un langage propre et un style inimitable et unique.
MUSÉE PABLO GARGALLO
Le Musée de Pablo Gargallo prend ses origines dans l’accord signé en 1982 par la fille du sculpteur, Pierrette Gargallo, et le maire de Saragosse de l’époque, Ramón Sainz de Veranda. Les héritiers de l’artiste s’engageaient à donner une série de sculptures, dessins, cartons et documentation. La Mairie s’engageait de son côté à restaurer le palais d’Argillo pour en faire le siège du musée, lequel fut inauguré en 1985. L’espace a été récemment agrandit par l’annexion de l’immeuble contigu et toutes les installations ont étés actualisées. Je vous recommande de le visiter en toute tranquillité avec notre audioguide (audioguides) pour découvrir et apprécier ce grand artiste.
L’édifice que le musée occupe aujourd’hui fut construit vers la moitié du XVIIe siècle en tant qu’agrandissement des maisons de don Francisco Sans de Cortés, par la suite marquis de Villaverde, comte de Morata et Atarés. Comme nous pouvons le voir dés sa façade, il conserve le modèle des palais de la Renaissance saragossains bien que nuancé par des éléments déjà du goût baroque. À l’intérieur, la cour se distingue avec des colonnes, sur l’auvent de laquelle se trouvent les reliefs des douze signes du zodiaque qui alternent avec des décorations de masques et de fruits.
Pablo Gargallo est né à Maella, Saragosse, en 1881. Quand il avait sept ans sa famille déménagea à Barcelone à la recherche d’une vie meilleure. Toute sa formation humaine et artistique se développa dans la ville comtale, où il commença comme apprenti du sculpteur Eusebi Arnau et fut élève de l’École de la Lonja. Dans sa jeunesse il fut un habitué du café Els Quatre Gats, où il se réunissait avec d’autres artistes comme Pablo Picasso ou Isidro Nonell ou encore Manolo Hugué. Lors de son premier voyage à paris en 1903, il connu l’œuvre de Rodin qui le marquerait profondément. De nouveau à Barcelone, il présenta sa première exposition individuelle et réalisa la décoration sculpturale de l’Hôpital de la Sainte Croix et San Pablo et du Palais de la Musique Catalane, tous deux des édifices conçus par l’architecte Doménech i Muntaner. En 1912 il s’installa à paris et dés lors il vivrait entre les deux villes, travaillant infatigablement malgré sa santé fragile. Après avoir exposé avec grand succès à New York et Barcelone, il mourut à Reus, Tarragone, en 1934 à l’âge de 53 ans, alors qu’il commençait à être reconnu internationalement.
Gargallo fut l’un des grands créateurs de la sculpture du XXe siècle. Tout au long de sa vie il fut capable de créer des œuvres classiques avec des sculptures qui exploraient les limites imposées par la tradition. Dans cette recherche d’un langage personnel et innovateur, il fit des recherches sur l’utilisation de nouveaux matériaux comme la plaque de cuivre, le fer, ou le plomb. Au niveau de la forme, il introduisit le vide dans ses œuvres comme élément décisif de la construction sculpturale et ouvrit de nouvelles voies expressives que de nombreux autres artistes suivirent par la suite.
Dans ce musée nous pouvons contempler avec l'audioguide (audioguides) les œuvres représentatives de toutes ses étapes créatives, en soulignant Le Grand Prophète, qui préside la cour centrale, ses masques, l’Uranus, Kiki de Montparnasse ou Hommage à Chagall.
LOISIRS, COMMERCE ET GASTRONOMIE À SARAGOSSE
Saragosse a toujours été une des villes ayant la plus grande richesse commerciale d’Espagne, car son enclave stratégique l’a située comme lieu de rencontre de marchandises, de tendances et de modes. Il suffit de marcher un peu dans ses rues avec l'audioguide (audioguides) pour découvrir la grande offre existante et la coexistence d’établissements spécialisés et des centres commerciaux les plus modernes. Les produits que nous pouvons trouver sont variés et répondent aux besoins et aux goûts de tous.
Il y a beaucoup de zones commerciales, certaines plus spécialisées dans la mode comme le Paseo Independencia, le Centre, le Barrio Delicias ou les environs de la Plaza de los Sitios, et d’autres dans les produits typiques, la mode alternative ou dans les établissements spécialisés comme le centre historique.
L’offre de centres commerciaux est aussi très vaste et on peut y trouver tout type d’établissement, ainsi qu’une grande variété d’options de loisirs comme des cinémas, salles de jeu, bowlings, etc. Certains des centres les plus fréquentés sont Augusta, Grancasa, Aragonia, Plaza Imperial ou Puerto Venecia.
La gastronomie de Saragosse est simple, relevée et de caractère, se basant surtout sur les produits locaux. Le potager aragonais fournit de délicieux légumes qui sont la base d’une cuisine saine, savoureuse, authentique et très nutritive. La viande d’agneau, de porc, de bœuf ou de volaille est utilisée pour élaborer des ragoûts relevés, idéaux pour les mois d’hiver. Le poisson ne manque pas non plus, bien qu’il s’agisse d’une province de l’intérieur. En ce qui concerne les desserts, de délicieux fruits de la vallée de l’Èbre et une grande variété de friandises et de pâtisseries, comme le touron de guirlache, une sorte de nougat, ou les crespillos d’héritage mauresque et les Fruits d’Aragon confits et couverts de chocolat.
Sans oublier les quatre Dénominations d’Origine de vins que nous trouvons dans l’Aragon: Calatayud, Campo de Borja, Cariñena et Samontano, qui produisent des vins meilleurs chaque année et de plus en plus adaptés aux goûts actuels.
Incoutournable dans notre audioguide (audioguides), les tapas sont une des passions des saragossains qui se transmet facilement à ceux qui nous rendent visite. On les trouve dans une multitude de lieux de la ville, mais le plus traditionnel et populaire, la zone de tapas par excellence de la ville c’est le Tubo, le cœur du centre historique.
Dans ses ruelles s’entremêlent les bars anciens de longue date aux couleurs locales rénovées et modernes. La Place de la Santa Marta est une zone classique pour les amoureux des tapas dans notre ville. Située derrière La Seo, c’est une petite place piétonnière qui se transforme en une grande terrasse au grand air quand le temps le permet.
Le lieu idéal pour connaître les ingrédients de base de la gastronomie saragossaine est le Marché Central, qui s’élève sur la place de Lanuza, où le marché principal de la ville avait été depuis 1210. L’architecte Félix Navarro dessina un édifice fonctionnel au style éclectique, dans lequel le fer et le verre sont combinés pour créer un espace léger, vaste et ouvert. Après la dernière restauration et la rénovation des points de vente, il conserve encore dans l’actualité son agitation et son animation quotidienne.
Chez Saragosse Tourisme nous espérons que ce service d'audioguide (audioguides) vous ait plu et souhaitons vous remercier de votre confiance. Nous espérons que l'audio guide vous ait servi à mieux connaître notre ville et vous invitons à nous rendre visite dans l’un de nos offices du tourisme, où nous pourrons vous fournir plus d’informations, ainsi que d’autres services touristiques pour que vous puissiez continuer à profiter de Saragosse.
Audioguías Bluehertz a réalisé des audioguides pour la Mairie de Saragosse en 6 langues (espagnol, anglais, français, allemand, portugais, italien et allemand) pour que le visiteur puisse découvrir et profiter pleinement de Saragosse.
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